Type de document : Research Paper
Auteurs
1 Doctorante, Département de la langue française, Branche des Sciences et de Recherches, Université Azad Islamique, Téhéran, Iran
2 Maître de conférences, Département de la langue française, Branche d’Arak, Université Azad Islamique, Arak, Iran
Résumé
Candide, le conte philosophique et le chef-d’œuvre des contes voltairiens, avec une écriture captive, simple et familière, représente les problèmes sociaux, moraux et métaphysiques de son siècle. Le conte philosophique, le sous-genre du conte, permet aux lecteurs de goûter la saveur romanesque, et de tirer en même temps des conclusions philosophiques. Le fait que les lecteurs soient attirés par les contes de Voltaire réside aussi bien que du fond que de la forme et sa structure narrative. Le conte, ce genre littéraire, aussi ancien et admirable qu’il soit, peu reconnu par les critiques et les théoriciens. Le formaliste russe, Propp, initiateur en 1928 de l’analyse structurale du conte, est le premier à appliquer une étude de la composition pour une typologie des contes merveilleux dans son livre célèbre Morphologie du conte. Bien que le travail de Propp tourne autour le conte merveilleux, ses théories possèdent une telle aptitude qui peuvent être appliquées à tous les récits. Il est d’avis qu’on peut analyser non seulement tous les récits folkloriques, mais tous les romans d’après ce modèle. Ce qui nous intéresse dans cet article, c’est l’analyse morphologique de ce conte Candide d’après les théories de Propp.
Mots clés