Type de document : Research Paper

Auteurs

1 Maître-assistante, Université d’Ispahan

2 Étudiante de la maîtrise en langue et littérature françaises, Université d’Ispahan

Résumé

Non seulement les motifs personnels et intérieurs, mais aussi beaucoup d’éléments relatifs au milieu social et aussi géographique de l’écrivain peuvent définir son style. Autrement dit, aucun écrivain ne peut s’empêcher de l’influence de la nature, du milieu géographique, social, culturel de la région dans laquelle il vit. Dans ce sens, la littérature des provinces ou bien la littérature régionale commence-t-elle à exister dans différents pays. Dans leur œuvre, nombre des écrivains s’occupent des informations sur le climat, la végétation, les mœurs et les coutumes, les traditions, les caractères sociaux mentaux et sur la qualité de la vie des gens de leur région natale. Ils restent fidèles à leur région dans le but de défendre et de nous faire connaître leur culture. C’est le cas de Mahomoud Dowlatâbâdi et Jean Giono. Dans cet article, après avoir donné des explications sur la littérature régionale, ses divisions et son histoire en Iran et aussi en France, nous allons analyser les indices de cette littérature dans La Place vide de Solouch de Mahomoud Dowlatâbâdi et Colline de Jean Giono.

Mots clés