[1] Alberti, Olympia. Marguerite Duras, une jouissance à en mourir. Nice : Baie des Anges, 2020.
[2] Cixous, Hélène. Entre l'écriture, Paris : Edition des femmes, 1968.
[3] Crémonese, Laura. Dialectique du Masculine et du Féminin dans l’œuvre d’Hélène Cixous. Paris : Didier érudition, 1997.
[4] Duras, Marguerite. L'Amant. Paris : Les Editions de Minuit, 1984.
[5] Karimian, Farzaneh et Deldadeh Samira. « Le statut de la femme à travers Nulle part dans la maison de mon père d'Assia Djebar et La Bohémienne près du feu de Moniru Ravanipur (étude sociocritique) ». Revue des études de la langue française, 22, 2020.
[6] Karimian, Farzaneh et Alaie, Mina. « Etoile agonisante : Lecture sociocritique de Sorraya dans le coma ». Plume, n. 25, 2017.
[7] Leclerc, Annie. Parole de femme. Paris : Bernard Grasset, 1974.
[8] Lejeune, Philippe. Le pacte autobiographique. Paris : Seuil, 1975.
[9] Marini, Marcelle. « Une femme sans aveu ». L’Arc, 98, pp. 6-17.
[10] Slama, Béatrice. « De la ‘littérature féminine’ à ‘l'écrire-femme’, différence et institution ». Littérature, n. 44, 1981, pp. 51-71.
[11] Strub, Elaine. Etude des personnages féminins de Marguerite Duras. Mémoire de master : Université de Dijon, 1988.
[12] Horer, Suzanne et Socquet, Jeanne. La création étouffée. Paris : Pierre Horay, 1973.
[13] Tegyey, Gabriella. Treize récits de femmes (1917-1997) de Colette à Cixous, Voix multiples, voix croisées. Paris : L’Harmattan, 2009.
[14] Zima, Pierre V. « Le sociolecte dans la fiction et dans la théorie ». Sociocriticism, v. 2, n. 10, 1989.
[15] Zima, Pierre V. Manuel de sociocritique. Paris : L'Harmattan, 2000.
[16] Vesal, Matin et Fahandej Sadi, Rahim. « L’univers mythique et le sujet problématique dans Le Poirier de Taraqqi ». Recherches en langue et littérature françaises, v. 13, n. 23, 2019, pp. 205-220.