Type de document : Research Paper

Auteur

Maître-assistant, Université Azad islamique, Unité des sciences et de la recherche, Téhéran, Iran

Résumé

Cet article a pour objet de mettre en évidence le rapport entre la poésie et la langue de façon à étudier, en nous appuyant sur le traité d’Aristote, De l’interprétation, la création poétique de Marceline Desbordes-Valmore (Les Roses de Saadi in Poésies) et celle de Leconte de Lisle (Les Roses d’Ispahan parus dans poèmes tragiques) passionnés par Saadi ou autres poètes iraniens. En fait, le goût et la délicatesse sont deux termes essentiels pour découvrir l’espace poétique de l’Iran dans une approche imaginaire où les symboles deviennent la langue commune de leur âme exaltante. Ainsi, la beauté exotique de l’Iran sera examinée par les différents critères dont le sensualisme (Rose) et le spiritualisme (Être) qui constituent la trame de l’inspiration poétique de Marceline Desbordes-Valmore et de Leconte de Lisle pour la découverte de la poésie lyrique.On tentera de montrer que l’espace de l’Iran pourrait être un lieu convenable pour la composition des poèmes lyriques à travers lesquels l’espoir et la perfection morale représentent la particularité de la littérature orientale.

Mots clés